Un siècle après la boucherie, nous saluons la mémoire des victimes de la guerre, d’abord les morts, au combat ou fusillés par leur propre armée, les mutilés, les veuves et les orphelins, les militant-e-s qui surent rester internationalistes comme celles et ceux de la Fédération des Métaux, de la Fédération de l’enseignement, du Comité pour la reprise des relations internationales en France, du groupe Spartacus en Allemagne. Honneur à une génération assassinée de la classe ouvrière internationale !
S.J.
Voir notamment:
- Lettre de démission au Comité Confédéral de la C.G.T. (P. Monatte, 1914)
- Lettre à Monatte (Marie Guillot, 1914)
- Lettre à Edouard Vaillant (R. Nicod, 1914)
- Manifeste des instituteurs syndicalistes (1915)
- Femmes contre la guerre (L. Saumoneau, 1915)
- Impressions d’un délégué (L. Bouët, 1915)
- Lettre aux abonnés de la Vie ouvrière (A. Rosmer, 1915)
- Déclaration de la Conférence de Zimmerwald (1915)
- Seconde Conférence Socialiste Internationale de Zimmerwald tenue à Kienthal (1916)
- Les tâches de l’opposition allemande (Liebknecht, 1916)
- Voix libres en France (Jouve, 1917)
- Notre programme (La Nouvelle Internationale, 1917)
- Circulaire sur la guerre (R. Luxemburg, 1917)
- Un nouveau Waterloo du socialisme (R. Luxemburg, 1917)
- Les preuves – Le crime de droit commun le crime diplomatique (1920)
- Le Comité pour la reprise des Relations internationales (1921)
- Les Fusillés de Souain. Pour la justice. Affaire Maupas (1923)
- Spartacus (Thalheimer, 1924)
- M. Poincaré et la guerre de 1914. Étude sur les responsabilités (Dupin, 1931)
- La leçon de 14-18 (Martinet, 1936)
- Alfred Rosmer et le mouvement ouvrier pendant la guerre (Martinet, 1936)
- Le mouvement ouvrier pendant la guerre (A. Richard, 1937)
- Préface à Heures maudites, journal de route d’un soldat de la guerre 1914-1915 (M. Body)
- Introduction aux Lettres et tracts de Spartacus (Lefeuvre, 1972)
Étiquettes : Première Guerre mondiale
9 novembre 2014 à 09:54
Traduction en espagnol (merci à Nicolas J.):
Un siglo después de la masacre, honramos la memoria de las víctimas de la guerra, primero los muertos en la batalla o fusilados por su propio ejército, los mutilados, las viudas y los huérfanos, los activistas que fueron capaces de permanecer como internacionalistas como aquellos de la Federación de Metales, la Federación de Maestros, el Comité para la reanudación de las relaciones internacionales en Francia, el grupo Espartaco en Alemania. ¡Un honor a una generación asesinada de la clase obrera internacional!
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9 novembre 2014 à 10:46
[…] https://bataillesocialiste.wordpress.com/2014/11/09/notre-11-novembre/ […]
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