Kopp (1902-1951)
Georges Kopp, socialiste belge, s’engage en 1936 dans les milices du POUM et combat sur le front. Arrêté le 20 juin 1937, il est présenté quelque temps comme l’espion n°1 en vue du procès du POUM par les services d’Orlov et la presse stalinienne. Une campagne de presse socialiste internationale le fait libérer (décembre 1938).
G. Kopp est cité plusieurs fois dans le livre Hommage à la Catalogne de George Orwell.
Arrêté par la police allemande en 1940, il s’évade, rejoint la Résistance puis la Grande-Bretagne en 1943.
Voir:
- Georges Kopp and the POUM Militia, Don Bateman (Revolutionary History, 1991)
- Tombeau pour Georges Kopp, Paul Hermant (Politique n°39, 2005)
21 décembre 2007 à 13:15 |
G. Kopp n’ est pas arrêté en 1940, mais fut blessé et prisonier de guerre. Il est evadé d’un hopital militaire (en France). G. Kopp avait rejoigné la Légion Etrangère en 1939.
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13 janvier 2008 à 15:43 |
C’est une personne honteusement décrit par B. govaerts et ça a influencé Davison, le biographe de Orwell
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4 juillet 2008 à 14:49 |
Etant la fille de Georges Kopp j’ai été très concernée par un article publié par Mr. B. Govaert, dans une revue flamande intitulée « Brood & Rozen » ( Du Pain et des Roses).Revue n° 2007/2. Cet article était si tendancieux et contenait tant de contre-vérités, que je fus amenée à rédiger une réponse qui fut publiée dans la dite revue,n° 2008/1.
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6 décembre 2008 à 17:26 |
J’invite Madame A.M. Kopp et Monsieur R. De Coninck à expliquer aux visiteurs de ces pages où résident la « honte » et les « contre-vérités » dans mon article sur Georges Kopp. La qualité académique de la revue dans laquelle mon texte a été publié est reconnue depuis des années. Monsieur De Coninck pourrait en témoigner. Il y collabore lui-même.
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